MARCUS BAKKEN

01 | Je perds vite le contrôle sur le dance floor quand je suis alcoolisé
02 | Ma seule ambition professionnelle ce serait de réussir à ouvrir un café à Brevik, pour les brunch et les tea times, sinon mon job au Black Karv je l’adore !
03 | Un jour je serai papa  
04 | J’aime les tatouages mais je n’ai jamais osé m’en faire un pour le moment !  
05 | Je n’ai aucun goût pour les fringues et le style. Ceci dit, j’ai un grand appétit et j’adore ce qui est fait maison au détriment de ce qui est préparé industriellement. Du coup, j’ai fini par être plutôt bon cuisinier !
06 | Je parle avec les mains, beaucoup. Chez moi ils ont essayé plusieurs fois de me tenir les bras en m’obligeant à parler, et promis, on a testé, ça marche pas
07 | Mon petit plaisir dans la vie, c’est de me réveiller avec des courbatures. C’est l’un des trucs les plus kiffant que je connaisse ! Pour ce faire, un peu de sport, mais pas trop faut pas abuser  
08 | Je me suis jamais cassé un os ... pour le moment ?
09 | Je suis en train de passer mon permis bateau (pour mieux me la raconter aux alentours de Brevik à pouvoir naviguer)
10 | Je n’ai aucun talent particulier. J’ai tenté la musique, mais même ça, ça n’a pas été très concluant…
BONUS | Quand mes frères et sœurs étaient petits, dire « Marrrcuus » c’était compliqué. Alors ils se sont mis à dire « Ma-kuRRs » Malheureusement c’est resté. Ils mettent le R à la fin maintenant…  

HISTOIRE |
Always lived in Brevik city
Les Bakken sont originaires de Brevik. On ne dirait pas comme ça, et pourtant si, une musicienne renommée et un business man talentueux ont su voir le jour dans la même bourgade. Ils ont vite acheté leur propre maison dans le quartier Downtown et élargi la famille. D’abord moi, puis Adrian, les jumeaux Noah et Isolda et... et Endre. Les parents n’ont pas eu le temps de s’ennuyer, et c’est Mme Bakken qui a mis sa carrière de pianiste entre parenthèse pour prendre soin de nos beaux visages.

Family – Childhood – Studies and work
Entre le business man et la musicienne renommée, les parents m’ont toujours laissé faire ce que je voulais pour que je trouve ma voie. Il se trouve qu’à l’école, ça ne marchait pas très bien. Mais je vois bien que cela n’inquiétait pas trop les parents. Ca les décevaient plus que ça les inquiétaient. Ils auraient bien sûr apprécié que je puisse faire de belles études, et avoir moi aussi une entreprise fleurissante. Or, ce n’était pas le cas. Et ce n’était pas grave. Les parents restent un soutien et continuent d’approuver ce que je fais, malgré le manque de noblesse dans les professions que j’ai effectué… J’ai toujours été débrouillard et indépendant. C’est ce qui a permis aux parents d’avoir confiance en moi, et de me laisser gérer ma vie comme je le voulais. Finalement j’ai trouvé ma voie dans les petits business qui font vivre la ville. J’ai compris que c’était ces jobs concrets, dotés d’une proximité importante avec les habitants qui m’épanouissaient. Rien d’exceptionnel, c’était parfait pour moi. J’ai déjà toute une famille de personne exceptionnelle… Moi, j’aime bien être normal. Avec rien de trop particulier pour ne pas trop sortir du lot.

Sentimental life
De l’école maternelle jusqu’à aujourd’hui, j’ai quand même un problème de fond. Un truc un peu profond, irraisonné que je n’arrive pas à gérer et à maîtriser. Je tombe sous le charme de demoiselles à peu près 3 fois par jour. Ca m’est arrivé à plusieurs reprises d’avoir des belles histoires ! Mais c’est comme si je n’en valais jamais la peine sur le long terme. Elles finissent toutes par me dire que ce n’était pas au programme de rester dans une longue relation avec moi. Je suis trop gentil pour ça, et j’aime trop la routine apparemment. Ou bien leur réplique préférée c’est de me dire qu’elles ne sont pas assez bien pour moi. Pour certaine je ne suis pas assez aventurier, et on s'ennuie avec moi. Je dois… vraiment m’excuser pour ça ? Comment je suis supposé trouver quelqu’un sur le long terme si elles me prennent toutes pour un rebondissement dans leur parcours amoureux ? Mais pas grave. Un jour je la trouverai, j’en était convaincu. J’avais envie d’être papa, et je le serai. Bon, pas tout seul…

Ma maman m’a toujours dit que ma qualité c’était de savoir aimer et de le faire savoir aux personnes concernées. Plutôt par des gestes que des paroles, je n’ai jamais su mettre maîtriser l’art des mots. A cause de mes quatre frères et sœurs qui ont aussi des besoins émotionnels, sentimentaux, à la maison il a toujours fallut que je donne l’impression de ne manquer de rien. A cause de ce stratagème, j’ai refoulé mes propres besoins émotionnels. Maintenant, j’apprends à vivre avec. Seulement je doute de l’affection des personnes qui m’entourent. Sans cesse besoin de leur redemander si on est toujours bien copains ? A questionner leurs actions pour savoir s’il n’y a pas un sens caché ? A creuser pour voir s’ils simulent leur intérêt pour moi ou si c’est bien sincère. Et à ce niveau là, mes parents n’ont toujours eu que des paroles très réconfortantes, mais n’ont jamais eu les gestes qui allaient avec. Pour me couper dans mon délire, j’ai besoin de voir, plutôt que d’entendre et comprendre…  


What about now ?
Aujourd’hui ? Je suis le fidèle barman au Black Karv, je m’entends super bien avec mon patron, Ron Solberg. J’habite downtown et j’essaye de passer mon permis bateau plus pour le look que ça donne que l’intérêt de la navigation. Je m’inquiète un peu de ma situation maritale. Je dois admettre qu’approcher les 40 piges sans perspective de paternité à court terme m’angoisse. Mais je continue d’enchaîner le « friend zone ». Saint Brévik s’occupera de mon cas un jour, j’en étais sûr.

PSEUDO/PRENOM | Johss ou plus récemment Jaja ou Djadja AGE | 23 ans F/M | F PRESENCE | Autant que possible OU AS-TU CONNU LE FORUM ? | Jaja CRÉDITS | gifs - tumblr